LES PROS DE L'ASSURANCE DOMMAGE OUVRAGE PARTICULIER LOI DU 4 JANVIER 1978
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L’assurance de souscrire avec le moins de contraintes techniques possibles une assurance dommage ouvrage particulier répondant aux exigences des banques
ASSURANCE DOMMAGE OUVRAGE PARTICULIER LOI DU 4 JANVIER 1978
Pour garantir une meilleure protection du consommateur final dans le domaine de la construction, la loi du 4 janvier 1918 impose deux assurances. Il revient à tout constructeur (architecte, entrepreneur…) de souscrire une assurance de responsabilité civile décennale. Dans le même temps, tout maître d’ouvrage doit souscrire une assurance dommage ouvrage conformément à l’article L242-1 du code des assurances. Est appelé maître d’ouvrage, toute personne qui souhaite faire réaliser des travaux de construction. Les promoteurs immobiliers ou les vendeurs, les constructeurs de maisons individuelles, ainsi que les particuliers sont tous concernés par cette disposition.
Pour comprendre la différence entre la dommage ouvrage et l’assurance décennale cliquez ici.
Tarifs à partir de 2200 € TTC
Devis sous 2h
Pas d’étude de sol (si < à 300 KE)
Pas d’archi imposé (si < à 150 m2)
Pas de coordinateur travaux (si < 300 KE)
Gestion simplifiée
“0” frais de courtage
DEVIS ONLINE simple, rapide et 100% gratuit
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+ D’INFOS SUR L’ASSURANCE DOMMAGE OUVRAGE PARTICULIER LOI DU 4 JANVIER 1978
Assurance dommage ouvrage particulier loi du 4 janvier 1978 : qu’est-ce que c’est ?
Assurance dommage ouvrage particulier loi du 4 janvier 1978 : quel est le délai de recours ?
Assurance dommage ouvrage particulier loi du 4 janvier 1978 : pourquoi souscrire ?
Le fait de souscrire l’assurance dommage ouvrage particulier vous permet d’être indemnisé rapidement en cas de sinistre. Vous êtes à l’abri d’éventuelle bataille d’experts de différents corps de métier et des pertes de temps devant le tribunal. Un seul expert se chargera de votre affaire en déterminant la réalité et la gravité du sinistre, de même que son montant. Vous êtes indemnisé sous un délai de quatre-vingt-dix jours. L’assureur n’a pas à attendre que le tribunal détermine les responsabilités de chacun. Il procède par la suite au recouvrement de l’indemnité versée au maître d’ouvrage grâce à l’assurance responsabilité décennale des constructeurs fautifs. En l’absence d’assurance, l’indemnisation des dommages sera difficile à obtenir (procédures longues et coûteuses entre 5 et 10 ans). Et en cas de revente de votre maison dans le délai de 10 ans suivant l’achèvement de sa construction, vous êtes personnellement responsable de toutes les conséquences découlant du défaut d’assurance, vis-à-vis du nouvel acquéreur.
Quels sont les différents risques couverts ?
- tous les dommages physiques qui menacent la solidité de l’ouvrage, y compris ceux résultant d’un vice du sol, et les dommages remettant en cause la destination de la construction (défauts d’isolation thermique des murs, fissures importantes des murs, effondrement de toiture, infiltrations d’eau par une fissure de la façade ou par la toiture, affaissement de plancher…) ;
- tous les dommages qui compromettent la solidité des éléments d’équipement ne pouvant être dissociés de l’ouvrage.
Assurance dommage ouvrage particulier loi du 4 janvier 1978 : comment cela fonctionne ?
Conformément à l’article L242-1 du Code des assurances, l’assureur dispose d’un délai maximal de 60 jours pour notifier à l’assuré sa décision concernant la mise en jeu des garanties prévues au contrat en cas de sinistre. Ce délai court dès que l’assureur reçoit la déclaration du sinistre. Dans le cas où l’assureur accepterait de mettre en jeu les garanties, il a un délai maximal de 90 jours dès la réception de la déclaration du sinistre pour présenter son offre d’indemnité concernant les travaux de réparation des dommages. Si l’assuré approuve l’offre d’indemnisation, l’assureur doit la lui verser dans un délai de 15 jours. Lorsque les délais indiqués ci-dessus ne sont pas respectés ou lorsque l’assuré considère que l’offre d’indemnité est notoirement insuffisante, il peut effectuer les dépenses nécessaires pour réparer les dommages, après l’avoir notifié à l’assureur. L’indemnité versée par celui-ci connaitra ainsi une certaine majoration (un intérêt égal au double du taux de l’intérêt légal).